Gottfried de Monte-Foy

Nom :
(de) Monte-Foy

Prénom :
Gottfried

Age :
45 ans (eh oui, un vieux pour le monde médiéval !)

Sexe :
Masculin (100% testostérone)

Race :
Humain, pur et dur. Même si guerrier divin.

Poste :
Ancien Paladin au service de Dieu, l’Unique. Actuellement Grand Sénéchal de la Garde.

Elément :
La Lumière Divine. C'est du Cala, mais auquel un bourrage de crâne religieux y a été ajouté. Pour Gottfried, ses pouvoirs viennent de Dieu.

Maîtrise de votre élément:
Gottfried est un Saint Homme, la Lumière Divine l’enveloppe continuellement d’un halo. Cela lui confère une armure très résistante aux coups et aux autres magies. Son attaque la plus puissante est le « Châtiment du Mal » : un rayon de Lumière Divine fend le ciel jusqu’à la terre, en plein sur la cible. Le résultat est foudroyant dirons-nous, les mots manquent pour expliquer ce qu’il résulte de la cible. Cela dit, cette attaque n’est pas imparable ou encore non évitable, Gottfried n’est pas un Dieu. Il a en outre reçu le pouvoir de bénir les armes, leur donnant un avantage certain contre les êtres de l’ombre, ainsi que leur octroyant des capacités renforcées. Par exemple, une résistance améliorée ou encore un tranchant plus vif. Chaque arme bénie se voit revêtue d’un halo de lumière.

Signes particuliers :
Gottfried est donc toujours nimbé de son halo Divin. Il se déplace uniquement avec son Grand Destrier, sauf dans les bâtiments, évidemment. Il excelle dans le maniement des armes, quelles qu’elles soient. Il se bat avec Gungnir, une lance ayant la caractéristique de frapper toujours sa cible et de revenir à la main de celui l'a lancée ; Balmung, une épée de Légende qui permit à pourfendre un Dragon ; et Dalring, un bouclier catalyseur de la Lumière Divine, c’est un grand écu recouvert par la magie de son utilisateur. Ses armes sont invoquées depuis ses gants (Balmung et Dalring) et son bandeau en acier (Gungnir). Ces objets sont de facture alchimique.

Description physique :
C’est un Homme grand et musclé, mesurant aux alentours des 1m90, pesant dans les cent kilos. Ses muscles imposants saillent sous sa cotte de maille, là où l’armure ne le recouvre pas. Un corps Sain dans un esprit Sain. Il a les cheveux châtains, assez longs et un peu ondulés. Ils flottent agréablement quand le vent se joint à la fête. Il porte une splendide moustache, entretenue avec soin. Son visage est le reflet de son être : droit, strict et entier. C’est un bel homme qui a vécue une vie saine et sereine. On voit dans son regard qu’il a vécu assez pour pouvoir se permettre de parler franchement. Ses yeux alternent entre les nuances de noisette et de vert clair. Il a un regard franc, parfois intimidant et l’ont se risque peut à le soutenir. Son armure est composée d’un plastron, de protection d’avant-bras et de cuissardes, le tout forgé dans un métal d’une pureté n’ayant d’égale que sa résistance, à savoir l’une des meilleures du continent. Elle est polie et brille de mille feux, éclatante sous le halo de Cala. Il porte des gants lourds en cuir, ainsi que des bottes solides. Son front est ceint par un bandeau en acier poli, où sont gravées des runes en or.

Description morale :
Gottfried est un Saint Homme, pieux et juste. Il s’est donné pour but d’éradiquer les ténèbres de la Terre, en s’accordant que la fin justifie les moyens. Il n’hésitera donc pas à détruire biens matériels et constructions pour traquer ses proies. Il a beaucoup tué, mais rarement des innocents, ces derniers avaient péri par la force des choses. Son éducation monacale lui a enseigné une rigueur de vie assez rude, et son caractère est entier. Les longues années de batailles, guerres et autres insurrections lui ont endurci le cuir autant que le mental. Il est inflexible et incorruptible. Il sait réfléchir avant de prendre une décision et n’en changera plus avant d’avoir atteint le but recherché. Brillant stratège, il n’en est pas moins redoutable guerrier et n’hésitera pas à courir à l’assaut de ses ennemis, même s’il est seul et dans une position défavorable. Il a un esprit calme et posé, mais il bout rapidement s’il est énervé, dans ces cas là, il vaut mieux se tenir à l’écart, au cas où. Sa moustache frétillante est un signe précurseur d’une grande colère. Il trouve le repos dans la prière, qu’il pratique au minimum une fois par jour.

Histoire :
C’est dans un petit village du Nord que naquit Gottfried Monte-Foy, quatrième fils et huitième enfant de Charles Monte-Foy, humble propriétaire de terres cultivables et de Elisabeth Monte-Foy, née Synthos, charmante paysanne et mère au foyer. Son enfance fut ponctuée par les travaux des champs dès qu’il fut en âge de travailler. Il fut ainsi destiné à reprendre les terres de son père quand celui-ci quitterait ce monde. Sa mère, malheureusement, mourut en mettant au monde son neuvième enfant, ce dernier était mort-né. Le désespoir s’empara du village, la famille des Monte-Foy étant l’une des plus appréciées des gens du cru. Gottfried vit la moitié de ses sœurs partir vers l’au-delà durant un hiver particulièrement rude. Les récoltes ne furent en aucun cas une réussite cette année, ce qui décida les frères de Gottfried, plus âgés que lui à aller chercher du travail à la ville la plus proche. Ils voyaient que les terres paternelles avaient épuisé leur potentiel de productivité. Gottfried allait sur sa dixième année, mais il continuait de travailler sans relâche sur les terres de son père. Ce dernier réalisait qu’il ne pouvait qu’entraver l’avenir de ses enfants, il décida donc d’offrir en mariage ses filles et de trouver un métier à son dernier fils. Puis un jour, un membre du Clergé de l’époque traversa la contrée afin de convertir les païens et enrôler les futurs Hommes d’Eglise. Charles vit là le signe du destin qu’il attendait pour son fils : il n’hésita pas une seconde et recommanda au Saint Homme son dernier fils et enfant : Gottfried. Celui-ci comprenait bien la situation et décida de se montrer digne de ses parents et ancêtres, il parti sans se plaindre, au contraire il commençait à éprouver une certaine fierté de servir le Dieu Unique de la Lumière. C’est ainsi qu’il fut emmené à la capitale, où on le plaça dans un monastère. Il y resta deux années, le temps de lui inculquer les bases de calcul, écriture, religion et escrime. Ces deux ans furent pour lui un dépaysement total, et l’apprentissage de ces nouvelles choses lui ouvrirent l’esprit, à tel point qu’il attendait avec ardeur les nouvelles leçons. Il était doué et les professeurs trouvaient en lui l’élève idéal. La religion devint une raison de vivre pour lui ; être au service de Dieu lui procurait fierté et prestance.

Vint ensuite le moment où on l’envoya dans un monastère reculé, afin de départager les Hommes de Lettres des Hommes de Guerre. L’examen dura une semaine pleine, sans interruption, même le temps de prière était écourté. Il s’avéra que Gottfried n’était pas meilleur dans une des deux discipline ; il était très bon et doué, mais autant de chaque côté. Les moines ne purent donc le placer, il fallait absolument qu’il rejoigne l’apprentissage spécial de la caste des Paladins. Ces fameux guerriers Divins, aussi aguerris qu’instruits, sous le commandement direct du Pape. Une requête fut envoyé au plus Saint des Hommes qui accepta de recevoir ce jeune garçon pour le tester. La rencontre se fit dans une plaine éloignée de toute activité humaine ; le Pape arriva dans une diligence commune, entouré d’une escouade de cavaliers enroulés dans de grandes capes sombres. Gottfried pour sa part était encadré par deux moines, intimidés par la présence de Sa Sainteté. Les cavaliers mirent pied à terre et se rangèrent de part et d’autre de la calèche : Sa Sainteté en sortit, et s’avança d’un pas vif vers les trois hommes. Les cavaliers se dévêtir de leur capes, laissant apparaitre de splendides armures brillantes comme baignées de soleil. Le Pape sortit deux épées des replis de son manteau et en lança une à Gottfried qui la rattrapa sans problème. Il se mit en place face au garçon et lui sourit gentiment. Puis sans prévenir lui envoya un fulgurant coup de pied dans l’estomac. Gottfried se plia sous la douleur et la surprise ; les deux moines s’étaient reculés d’une bonne dizaine de mètres. Il se releva en chancelant et se mit en position fondamentale de combat. Son Adversaire lui souriait toujours et se mit à avancer d’un pas. Gottfried pris une seconde pour réfléchir : là était ce fameux test, très bien, il saurait montrer sa valeur. Il sauta sur Son Assaillant et frappa à nombreuses reprises du plat, de la pointe, du tranchant, des pieds, du poing libre et de la tête. Chacune de ces frappes fut stoppée par un bruit carillonnant et un choc métallique. Gottfried vola en arrière, il présentait ecchymoses et éraflure sur son corps et son visage, ainsi que la mine étonnée de celui qui n’a rien suivi de ce qui lui est arrivé. Le Pape enfonça son épée au sol et commença à questionner Gottfried sur des sujets de calcul, littérature, religion et autre. Celui-ci était sonné, mais répondit sans fautes à Son Interlocuteur, qui hochait de la tête à chaque réponse ; Il semblait satisfait du garçon. Il enleva Sa toge : une armure blanc et or fut ainsi révélée. Elle était éraflée en un ou deux endroits, là où les coups avaient portés. Sa Sainteté sourit de nouveau, remit Sa toge et repartit dans sa calèche. C’est ainsi que Gottfried venait d’être accepté en tant qu’apprenti Paladin.

Vinrent ensuite quatre ans où il fut formé à l’art de la guerre, à la stratégie, aux fondements de la Religion de la Lumière Divine et à la culture en général. Ces années lui forgèrent un caractère bien trempé, ainsi qu’un solide corps musclé. Il en sortit prêt à affronter les armées des Ténèbres, ces mécréants sans foi ni loi qui pillent et tuent sans vergogne. Il fut convoqué à la Sainte Eglise, Bastion de la Lumière Divine, où une cérémonie de remise d’armes et de titre lui était dédiée. C’est ainsi qu’il reçut une Epée Divine, un Bouclier de Dieu, en même temps qu’il fut baptisé par le Saint Père, révélant ainsi ses pouvoirs de Cala, par un long rite Sacré. Il était fin prêt pour partir en Croisade, et cela ne serait pas son unique bataille, loin de là.

Il voyagea un peu partout dans le monde, au gré des Guerres Saintes et autres invasions barbares. Il prenait part non pas seulement aux guerres de religions mais aussi les guerres de territoires. Il se retrouva dans le Nord, bien au-delà de son village afin de ramener le calme sur les côtes ravagées par des vikings cruels, à l’Est bloquant la progression de chevaliers parés d’armures lourdes en acier, ou encore au Sud défendant une ville fortifiée face à une horde de drows enragés, ou bien encore ailleurs… Chaque mission lui était confiée directement par le Pape et il partait avec quelques frères d’armes, voire un régiment quand l’ennemi était puissant. Ils étaient la crème des guerriers, et leur seule présence faisait basculer l’issue de la bataille. Toutefois, ils n’avaient pas encore le rang de Paladin, ce rang ne s’acquérait qu’après de longues années de travail et d’expérience.

Le jour de ses vingt ans, Gottfried reçu l’autorisation de retrouver sa famille ; il avait en quelques sortes une permission d’un mois. Il se mit en route vers sa patrie de naissance, avec pour seul bagage, Epée, Bouclier et Armure, et pour seule compagnie un bon canasson rodé aux longs voyages. En arrivant sur place, il n’eut aucun souci pour trouver le plus vieux de ses frères, alors devenu maire du village, devenu bourg réputé pour son emplacement marchand. Avec son aide, il réussit à réunir la famille : une sœur et deux frères étaient morts lors d’une attaque de mercenaires d’un obscur Comte voisin ; leur père était décédé lors d’un hiver, mais était mort en paix, fier de ses enfants. Les retrouvailles furent chaleureuses, mais de courte durée : une armée de mage combattants Wethil se tenait aux portes du bourg, assiégeant la place. Gottfried prit les choses en main, et usa de tout son savoir de stratégie pour venir à bout de ces ennemis mauvais. Au nom de Dieu, il prit part à la bataille, mélangeant les rôles de stratège, soldat et commandant. C’est lors de ce combat qu’il apprit à utiliser ses pouvoirs de Lumière Divine : le Châtiment du Mal venait de voir le jour. Ce n’était alors qu’un mince rayon qui ne causait pas grands dégâts, mais Gottfried savait que cela pourrait bien devenir une attaque redoutable et redoutée. En outre, il récupéra sur le chef des Wethil, une relique maléfique qu’il ramena au Pape après avoir sécurisé le bourg, les environs et embrassé frères et sœurs. Sa Sainteté fut heureuse de voir cette relique du Malin revenir à l’Eglise pour y être détruite. Il récompensa Gottfried en lui offrant Gungnir, une lance ayant la caractéristique de frapper toujours sa cible et de revenir à la main de celui l'a lancée. Il parla aussi de son Châtiment du Mal, ce qui égailla Sa Sainteté, qui lui conseilla de persévérer dans l’apprentissage de la Lumière Divine.

Enchainant les coups d’éclats et les moments de gloire, Gottfried atteint l’âge heureux de 25 années. Ce fut le moment pour lui d’être intégré au corps des Paladins. Ses capacités de Cala lui permettaient de se protéger en se nimbant d’un halo de Lumière Divine, et on lui apprit à bénir les armes afin d’améliorer leurs capacités. Il délaissa son Epée Divine et son Bouclier de Dieu au profit d’armes ancestrales et mythiques : Balmung, une épée de Légende qui permit à pourfendre un Dragon ; et Dalring, un bouclier catalyseur de la Lumière Divine, c’est un grand écu recouvert par la magie de son utilisateur. Pour plus d’aisance, les gants de Gottfried furent améliorés grâce à l'alchimie pour servir de rangement à ses armes, il pouvait ainsi les invoquer à sa volonté et les révoquer dans ses gants. Quelques temps plus tard, un alchimiste sauvé par Gottfried lui fabriqua un bandeau frontal en métal afin d’accueillir Gungnir, tout comme pour ses gants en cuir. Gottfried fut intéressé par l'alchimie, trouvant que c'était une compétence utile et bien loin de la magie, donc n'ayant pas d'emprise sur la Religion.

Jusqu’à ses 35 ans, Gottfried fut au service de Sa Sainteté, accumulant l’expérience des combats, apprenant la culture du monde entier, se forgeant le caractère d’un homme sage mais guerrier, et musclant son corps tel un roc. Il avait vu beaucoup de ses camarades tomber au combat, mais jamais il ne s’était remis en question. Ou plutôt, il avait toujours décidé d’être fidèle à ses pensées et continuer sur la Voie du Seigneur. Arriva le jour où le Pape mourut de vieillesse, il laissa la place à un jeunot (50 ans, pour un Pape, c’est une jeunesse) sans grande expérience de l’art de la guerre et l’ordre des Paladins s’en vit affecté. On confia donc la caste à Gottfried qui devint en plus d’être un homme de terrain, un instructeur. Il était droit, juste, avec une rigueur inébranlable, et de ce fait beaucoup de jeunes recrues abandonnèrent en cours de route. Seuls les plus acharnés arrivèrent au rang de Paladin, mais la Foi n’était pas forcément leur motivation. Constatant la lente déchéance malheureuse de l’ordre des Paladins, il décida de quitter sa fonction, préférant continuer son parcours vers le Seigneur de son côté. Le Pape, heureux de se débarrasser d’un élément trop franc et pieux tel que lui qui aurait pu revendiquer le trône Papal ou juste mettre son grain de sel dans certaines affaires, le bénit pour la suite, l’autorisa à conserver son rang et tous les droits dus aux Paladins et alla même jusqu’à l’anoblir. Il s’appelait désormais Gottfried de Monte-Foy, Paladin de la Lumière Divine. Il se mit à parcourir à nouveau le continent afin de trouver une place où il pourrait continuer l’extermination des partisans du monde des ténèbres et du chaos. Il voyagea environ quatre ans, au cours desquels il continua de s’entrainer, traquant le Malin et ses sbires avant de trouver un endroit où arrêter son voyage. Il n’aimait pas les mages, quels qu’ils soient, même ceux maniant le Cala. Il trouvait que cela allait en contradiction avec la religion et il était impensable que des humains ou autres races veuillent acquérir des pouvoirs Divins. Son cas était différent, ses pouvoirs lui avaient été donnés lors d’un rituel, et ils n’avaient rien à voir avec le Cala actuel. La Lumière Divine était bien plus… Les souvenirs lui revinrent à l’esprit, le laissant regarder dans le vide quelques instants.

Bref, quoi de mieux pour surveiller ces apprentis Dieux de pacotilles que d’établir une citadelle à côté de la plus grande école de Magie du continent : Elladat. La cité de Kalinach entourait l’école de magie, aussi Gottfried entrepris de construire un bâtiment consacré au sein de la citadelle, l'ancienne capitale, ce bastion contre le Mal et le Chaos s’appellerait La Garde, et il recruterait les meilleurs soldats de la région, pour se préparer à affronter les forces des Ténèbres, et ainsi accomplir sa mission de Chevalier de Dieu. La directrice de l’école ne l’aimait pas tellement, mais la réciproque était aussi vraie. Ils ne se voyaient que pour de grandes occasions. Cela faisait quand même 8 ans qu’il s’était installé, ils se connaissaient bien. Et il savait que malgré son jeune âge, il ne fallait pas la sous-estimer. Il y avait de bonnes recrues à La Garde, tout particulièrement un jeune chasseur de vampires de la grande lignée des Belmont. Il avait eu l’occasion de rencontrer un de ses parents… Comment s’appelait-il déjà ? Gaston Belmont, peut-être. Un impulsif, comme sa descendance… Cela faisait un bon bout de temps qu’il n’avait pas parlé aux soldats et gradés de la Garde, il fallait y remédier, il était tout de même le Grand Sénéchal de La Garde !

Joli travail
Ca a pas dû être facile pour toi de faire un personnage aussi honnête, hein ?

Bon, critiques maintenant.

Citation :

Un corps Sain dans un esprit Sain

J'arrive pas à croire que t'ais laissé passé cette chance de faire un jeu de mots foireux.
C'était tellement évident.

Sinon, je crois qu'il y a un problème dans ta famille :

Citation :

quatrième fils et sixième enfant de Charles Monte-Foy

Citation :

Sa mère mourut en mettant au monde son septième enfant, ce dernier était mort-né.

En faisant une soustraction de base, j'en déduis qu'il y a 2 filles.

Citation :

Gottfried vit la moitié de ses sœurs partir vers l’au-delà

Donc déjà là, tu pouvais dire "une de ses soeurs". Mais bon, c'est pas encore illogique. Soeurs restantes : 1

Citation :

il décida donc d’offrir en mariage ses filles

Là par contre ça devient plus gênant. D'habitude, on utilise pas le pluriel pour un singulier


Mais c'est là que ça devient quantique.

Citation :

Avec son aide, il réussit à réunir la famille : deux sœurs et un frère étaient morts

Si on compte bien, il se retrouve avec -1 soeur.
J'avoue, c'est balèze.
C'est pas donné à n'importe qui.
Ou alors, ses soeurs sont des slimes qui se multiplient quand on les tue


Sinon, je le répète, joli travail. Tu as bien cerné la psychologie d'un palouf
Reste à voir si tu pourras garder cette rigueur dans tes posts ^^


Ah, sinon, le "poing du paradis", ça fait un peu shônen

Merci Tristan de m'avoir démélé les pinceaux...
Même commentaires. Beau travail, mais un peu d'illogisme dans la famille.

Hahaha... En effet, j'ai eu du mal. Je met ça sur le compte de l'heure tardive!!

Je rectifie de suite.

Sinon, je suis content que ça te plaise. Il est vrai que j'ai du me focaliser à fond sur un esprit de Palouf (Rhapsody et Zoug Amag Zlong m'ont bien aidé, ainsi que mes connaissances dans la classe des Paladins de DiabloII).

Je pense pouvoir garder sa psychologie, mais il ne faudra pas que je le joue la même journée que Nelby!!

Le Poing du Paradis peut être renommé s'il détonne trop:
- Châtiment Divin
- Frappe du Paradis
- Intervention Divine
- ...

Et pour le jeu de mots, je n'avais pas l'esprit aux entourloupes^^

Ils baisent comme des lapins les monte-foy

Enfin, jolie hécatombe du sexe féminin


Et sinon, c'est vrai qu'il a pas vraiment besoin de l'Alchimie avec toute sa magie

Autre problème, c'est que manifestement, c'est Gottfried qui a crée la Garde...
Mais il a "que" 45 ans... Ca me paraît un peu court pour être l'âge de la Garde. De plus, si c'est lui le chef, je vois pas ce qu'il foutrait dans l'ambassade et non au quartier général. Or, on a plutôt besoin du commandant de la garnison de l'ambassade que du big boss, en réalité.


Et je me rends compte que c'est plutôt par là que j'aurais dû commencer


EDIT : Le mieux pour ta technique - et t'aurais déjà dû t'en rendre compte - c'est :

CHÂTIMENT DU MAL !

Citation :

Autre problème, c'est que manifestement, c'est Gottfried qui a crée la Garde...
Mais il a "que" 45 ans... Ca me paraît un peu court pour être l'âge de la Garde.

Hum, là ça dépendrait de Lyre. Rien n'indique que la Garde soit très ancienne, surtout si elle a été créée pour combattre les Mahais. Il me semble que le Chaos ne sévit pas depuis des siècles non plus... Sinon on n'aurait déjà plus de monde. En tout cas, pour le personnage, comme je le disait à Nelby, 45 ans me semble être l'âge parfait.

Citation :

De plus, si c'est lui le chef, je vois pas ce qu'il foutrait dans l'ambassade et non au quartier général. Or, on a plutôt besoin du commandant de la garnison de l'ambassade que du big boss, en réalité.

Je ne suis pas d'accord Il faut un chef à la Garde, et le commandant de l'Ambassade serait probablement... d'vinez quoi... un ambassadeur. On a besoin de dirigeants pour chaque faction, et se contenter de créer un type à la tête de l'Ambassade ne règlerait pas vraiment le problème (et par "pas vraiment", j'entends "pas du tout"). De toute façon, le type qui donne les ordres à la Garde à Kalinach, c'est Tristan xD

Par contre, une chose qui demande réflexion, c'est la localisation de la Citadelle de la Garde. Tu l'as placée en banlieue, mais je pense qu'on peut la mettre plus loin, sinon il n'y aurait pas besoin d'une Ambassade à Kalinach ! Mais là encore, c'est à Lyre de préciser ! Il est dit que la Citadelle se trouve à l'emplacement de l'ancienne "capitale de ce monde", mais pas où se trouvait ladite capitale par rapport à Kalinach...

Bon ensuite, poignée d'observations en vrac :
- T'as craqué le budget majuscules
- Gungnir, Balmung... Et ça veut nous faire croire que ça n'est pas un dieu ? (par contre, Dalring je ne connais pas, et Wikipédia non plus)
- Le problème de l'alchimie (déplacé depuis le topic de demande de topic !). C'est important, donc j'en fais même un autre paragraphe tiens.

Là, je dois dire que ça me défrise un peu de voir les efforts de Tristan pour rendre l'alchimie relativement courante au sein de la Garde réduits à néants par "niet c'est une science occulte". Non, on avait considéré que la Garde, puisqu'elle se repose le moins possible sur la magie, compense par l'alchimie (parce que quand même hein bon, faire face à des bourrins de l'acabit de Lyre ou Simhour avec un couteau et un pagne, ça va deux minutes). C'est une position hypocrite puisque l'alchimie et la magie sont liées, mais c'est celle de la Garde (qui pourrait résumer son règlement par "hypocrisie" de toute façon, sauf que les paloufs qui y sévissent diront que non, jamais, ils ne travaillent que pour le Bien™ ).

Je trouve donc illogique que Gottfried n'ait pas le moindre bibelot alchimique pour renforcer ses pouvoirs, d'autant plus qu'il utilise (me semble-t-il) des techniques similaires à celles de Tristan ; à savoir, canaliser le Cala dans ses armes pour taper plus fort (en gros, mais l'intéressé apportera ses propres précisions). Or, c'est grâce à l'alchimie que Tristan le fait, ça devrait donc être beaucoup, beaucoup plus dur de canaliser de la magie dans une arme non alchimique... Mais comme ça requerrait de faire de Gungnir, Balmung et Dalring des armes alchimiques, j'ai une autre proposition :

Considérer que Gungnir & co., en tant qu'armes sacrées, sont constitués de Cala pur, matérialisé sous la forme d'armes, et donc faire des gantelets et du bandeau de Gottfried des objets alchimiques capables de stocker les armes (again, Tristan in/confirmera ) ! Et puis l'idée des armes déjà constituées de Cala permettrait à Gottfried d'utiliser sa propre magie pour les rendre encore plus grosses et méchantes !

Hum, voilà... je vais aller écrire ma dissertation sur la magie moi, et j'enjoins à Tristan de faire la sienne sur l'alchimie, plus vite on aura rendu tout ça cohérent, plus vite on aura des bases pour discuter de ce genre de pouvoirs ^^

salutation fervent défenseur des opprimés

je sens qu'on va bien s'entendre toi et moi

(tes pouvoirs, on dirait pas mal du cala mais dans sa partie sacrée [un peu comme mes pouvoirs de combat] )

Attention, Léaldir, la Garde et Elladat ne sont pas particulièrement en bons termes

Ca me gêne pas tant que ça que Gottfried en lui-même n'ait pas recours à l'alchimie du moment qu'il vienne pas chercher des noises à mon département
Surtout qu'à la lecture de sa présentation, il est pour moi clair que ses capacités sont magiques et non alchimiques.

Cela dit, c'est vrai qu'il est illogique que Gottfried ait recours à la magie mais refuse l'alchimie qui est nettement mieux accepté dans la Garde.
Et dans cette optique, il serait alors plus facile de considérer que les gants et le bandeau soient des objets alchimiques qui ont pour but de matérialiser les armes de Gottfried. Ainsi, ça lui permet d'utiliser plus ou moins de magie dans les objets de façon à avoir des armes plus ou moins efficaces.
Et quand je pense à une Gungnir matérialisée avec le maximum de magie disponible qui aurait la taille de celle de Lenneth durant son Nibelung Valesti (Valkyrie Profile), je ne peux empêcher les manly tears de couler

Pour son aura de défense, ça peut tout simplement être le rôle de l'alchimie de son armure. Et pareil, ça permet une modulation de puissance.

Par contre, pour son châtiment du mal et son buff sur les armes, je ne vois que de la magie pure et dure. Cela dit, il n'est pas contre-nature pour la Garde d'avoir recours à la magie du Cala, d'autant plus s'ils ont trouvé une excuse du genre "c'est pas de la magie, c'est de la lumière divine" pour l'expliquer

https://www.youtube.com/watch?gl=FR&hl=fr&v=MMmsRQ-NehY

Soit dit en passant, c'est justement un bon exemple d'arme de nature uniquement magique Mon idée sur le sujet devait justement permettre de sortir des über-lances et des épées à en faire complexer Guts, le tout BY SHEER WILL lee*

Concernant l'alchimie, voilà ce que je peut changer:
- Les gants et le bandeau peuvent être des objets alchimiques de stockage.
- Les armes en elles-mêmes peuvent être mi alchimiques mi magiques.
¤ note: Dalring est une invention de ma part. Imaginez un cerclage d'écu, comme un bouclier héraldique, et lorsqu'il s'active un "champ de force" prend forme au sein du cerclage.
¤ note: Gungnir et Balmung, ce sont bien en effet les armes des Mythes. Du moins pour leurs caractéristiques. (je savais que nos chers historiens des myyythes et légendes les auraient remarquées) Mais Gottfried n'est pas un Dieu, il a juste en sa possession des reliques d'un autre temps. De toute manière, il n'y a qu'un Dieu, l'Unique.
- N'ayant aucune indication sur la citadelle, j'ai du broder. Il peut tout à fait succéder à l'ancien big boss the boss, si la citadelle a plus que 8 ans (ce qui me parait pas mal, déjà)
- C'est le big boss, passqu'effectivement à l'ambassade, ya des ambassadeurs. Et quitte à faire un Patron, autant faire le plus haut.
- concernant son aura, c'est la Lumière Divine. Ni alchimie, ni magie.
- Pour son opinion sur l'alchimie, disons qu'il ne la tolère que passqu'elle donne de bon résultats, et de bons subordonnés.
- Le Poing du Paradis va être en effet changé en faveur du Châtiment du Mal.

Edit: Châtiment du Mal opéré et alchimisation des objets faite.

Pour le boostage des armes, je relance la Lumière Divine: ni magie, ni alchimie.

Au final, tu fais comme tu veux de toute façon ^^ Juste éviter de refuser complètement l'alchimie, le reste c'est bon !

Ah, petites précisions niveau citadelle, origines de la Garde tout ça : on manque d'infos, mais on peut partir du principe que la Garde est le résultat de siècles de luttes vertueuses, d'abord avec les groupuscules décrits dans l'Histoire, ensuite avec les paladins du Pape, ensuite, une fois que Gottfried est à la tête du business, la Garde telle qu'on la connaît, une organisation guerrière destinée à lutter contre le Chaos en reprenant les idéaux de ses prédécesseurs !

Je crois pas qu'on puisse faire des objets alchimiques de stockage. De même qu'il est impossible de faire des objets mi-magiques mi-alchimiques. Car pour proche que les concepts soient, ils sont mutuellement exclusifs.
Voir ma fiche de présentation : objets alchimiques et magiques sont les même à la différence (notable) qu'il faut fournir de l'énergie à un objet alchimique alors qu'un objet magique marche tout seul.
Concernant son poste de grand chef, je disais surtout ça pour toi, parce que si t'es pas à Kalinach, et même à une certaine distance en fonction de ce que dira Lyre, ça va être plus difficile pour toi d'avoir une implication dans les événements.
Quant à 8 ans, ça me paraît un peu court pour faire de la Garde l'institution connue et reconnue qu'elle est aujourd'hui.
Cela dit, on a supposé, Simh et moi, qu'il pouvait avoir "annexé" l'ordre des paladins, ce qui pourrait être une bonne façon d'accélérer le processus.
Quant à ta lumière divine... ça ne peut être que de la magie (ou de l'alchimie en prenant ma théorie), même s'il ne le considère pas ainsi. Parce que sinon, elle vient d'où ?
De Dieu ?
On rentre carrément dans le système de D&D... et je crois pas que le background du monde ait prévu la magie divine. Sinon on aurait déjà des prêtres.

Pour éviter tout malentendu:

Lumière Divine = Cala + bourrage de crâne religieux
Magie < Alchimie < Lumière Divine (pour Gottfried)
Dieu Unique = bourrage de crâne religieux

Du très beau palouf Bravo

Et 'suis d'accord avec les modif'

Toujours aussi clair, net et précis notre Exal!!

Et court

Waow.

Je parle pas de la fiche, hein, 'jai pas encore lu. Par contre j'ai lu vos commentaires. Outch xD J'vais lire la fiche histoire de tout comprendre ce que vous avez dit mais déjà :

-Point de vue de la Garde envers l'alchimie : Comme Simhour il a dit.
-Vous voulez les antécédents de la Garde? Le faire vous-même?
-Alchimie... Je dirais que pour le fonctionnement, je m'en remets plutôt à Tristan
-Pour les huit ans, créateur de la Garde et tout...j'vais lire cte fiche xD

Aaaahh, cette chère Lyre... Toujours la première aux nouvelles!!



Edit: Les modifications sont toutes apportées, pour les autres (genre l'age de La Garde et le lieu) il serait plus simple de faire un post complémentaire explicatif, nan?

Je me contenterais de dire: j'ai une vie sociale mwa! :p

Post complémentaire explicatif...Faut bosser sur la Garde ça je l'avoue, ça devient nécessaire xD

Au boulot lyre...

Fiche: Parfaite, j'ai beaucoup aimé *tu vois, tu peux être honnête!*
-Même si j'ai doucement rigolé en lisant la jeunesse de Lyre xD-

Age de la Garde: Ca me semble cohérent moi, vu comme il a dit qu'il y avait déjà des "choses" avant

Place de la Citadelle: Oui, en effet plus loin que la banlieue xD A l'Ambassade, des Ambassadeurs, dans la Citadelles, des Gardes xD
L'ancienne capitale du monde... Mettons que le monde de Kalinach soit aussi grand que l'Europe - ouais c'est un p'tit monde je sais, surtout vu les trajets que nos persos font xD Mais c'est un exemple ! - . On va dire deux grandes villes: Londres et Paris. Le premier étant Kalinach, l'autre la Citadelle. Ca fait plus loin que la banlieue, même celle d'une grande ville!
Donc en gros, si Gottfried veut visiter la ville, il va passer pas mal d'heures - quelques jours- le cul sur son canasson et tant pis pour lui!

Niveau religion: Personnellement, dans ma tête c'était: Elementalistes croyent à ce qu'ils veulent, divinité nature etc etc. Et l'Ordre "croit" en un Dieu Unique dans leur genre - m'obligez pas à définir, ça sera pas gentil :p - pour qui ils bossent. Même si certains savent très bien que c'est juste pour donner une raison philosophique et religieuse à ce qu'ils font.

Si j'ai oublié un truc, dîtes le moi...

T'as oublié qu'on écrit "les élémentalistes croient à ce qu'ils veulent".

"Ah non ! Croivent "

T_T