L'école d'Elladat et sa cité Kalinach
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 Lyre de Vertus

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Lyre de Vertus
Professeur d'air
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Lyre de Vertus


Race : Anshog.
Poste : Professeur d'air & Directrice d'Elladat.
Elément : Lind
Nombre de messages : 762

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MessageSujet: Lyre de Vertus   Lyre de Vertus EmptyDim 10 Déc - 22:42

Nom:
De Vertus

Prénom:
Lyre

Age:
En apparance à peine 23, réellement..

Poste:
Directrice d'Elladat, une des gardienne de Kalinach et professeur d'air.

Elément:
Air

Maîtrise de votre élément:
De nombreuses choses, maîtrise quasi totale malgré une préférence pour les sortilèges délicats et peu de contrôle en lumière aveuglante ou assault d'émotions.

Race:

Anshog elfe divin.
Espérance de vie:Très longue, peut être éternelle...Mais la plupart meurent avant pour cause de combats... adulte à 23.

Apparence physique: Les anshogs sont de grandes tailles un bon mètre 70 au minimum. Mince et athlétique ils ressemblent beaucoup aux elfes même si leurs oreilles sont plus petites ce qui les rapproche des nymphes.Sans être toujours beau ils sont charismatiques et lorsqu'ils prennent la parole on tourne le visage vers eux. Leur visage et même corps est fin, presque maigre et ils ont parfois des ailes de libellules dans le dos qui les soulèvent sans difficulté. Leur yeux sont semblables à ceux des chats, ils ont du mal à voir en pleine lumière mais le crépuscule est clairvoyant pour eux. En raison de cela et de leur peau pâle ils sont sensibles au grand jour et fréquentent peu les heures où culmine le soleil préférant l'aurore et la tombée de la nuit. En pleine lumière ils peuvent perdre la vue s'ils sont trop longtemps exposés, pour les mages ils laissent échapper leur magie et les guerriers ne peuvent pas combattre efficacement tandis que leur peau subit des sévices comme de légères brûlures si l'exposition dure trop longtemps.

Histoire: Ce sont les descendants de sang pur la plupart du temps d'une déesse Nymphe Oréade -guerrière- et d'un Dieu elfe. Installés depuis des centaines d'années il restent un peuple rare et méconnun, peu représenté à Kalinach.Rares sontdonc ceux qui les connaissent.

Caractère:
Leur caractère est très différent selon les un et les autres et il n'y a pas de véritable caractéristique mentale autre une grande fierté ainsi qu'une loyauté inattaquable, et une haine envers tout ce qui atteint la liberté. Ils sont assez souvent aventuriers et changent fréquemment de lieu de vie.

Leur principale maxime générale étant : vaillance, loyauté, vérité.

Mode de vie:
Libres avant tout , la plupart du temps par tribu d'une vingtaine de membre, ayant une citée ou ils sont établis et plusieurs petits campements.


Sexe:
Féminin

Description physique:
De haute taille, elle doit mesurer un bon mètre 70, mais pas beaucoup plus, ses cheveux sont d'une couleur indéfinissable, parfois argent, parfois violet mais toujours si pâle que sans étude très aprofondie on le croit blancs. Ceux ci sont assez étranges déjà par leur teinte, presque blancs certes mais avec des reflets argentés, ce qui donne au final lorsqu'elle est au soleil des cheveux blancs métalliques. Les yeux gris aux pupilles félines , ceux ci sont scrutateur sans être malsain, elle est mince et élancée, très leste elle est aussi vive. Habillée la plupart du temps de longues robes simples de couleur argentées ou blanche , celles ci découvrent plus ou moins ses épaules même si elle évite que ces vêtements dévoilent son épaule gauche, ses bras ou ses chevilles. Simples certes mais élégantes. Comme armes elle utilise le plus souvent une lance voire une épée courte et surtout ces pouvoirsPhysiquement elle possède un tatouage bleuté, sur son épaule gauche, symbole des esclaves, ce qu'elle fut durant quelques jours. Le petit doigt en moins à la main gauche elle n'en demeure pas d'une allure assez romantique et mystérieuse, ne semblant pas toucher le sol et avec un léger sourire planant sur les lèvres. Son visage est très pâle, fin et bien dessiné, sertis de ses yeux d'acier d'une bouche un peu charnue mais très pâle, ses pomettes sont hautes et rose clair, un nez droit et discret, et deux oreilles pointues montrant les origines de sa race comme sa beauté..


Description morale:
Douceur et fermeté, voila deux mots qui conviennent à merveille à la jeune femme. Obstinée et curieuse, elle respecte pourtant son interlocuteur quelqu'il soit.Elle est d'un calme souverain mais lorsqu'elle se met en colère c'est toujours soudain et mouvementé, son don se libérant dans tout son pouvoir, et rien ne pouvant se mettre sur son passage sans risquer quelque chose de..mauvais. Pourtant elle ressemble assez à un chat, douce, féline ,elle parle avec mesure et fermeté. Très fière elle tente de se calmer depuis son arrivée à Elladat, mais reste orgueuilleuse, amoureuse de la liberté et d'une indéfectible loyauté à la magie, à la citée, et à l'école. A une époque elle était insouciante et impulsive, provocatrice même, depuis elle a changé et est devenue plus mélancolique, plus réservée, même si elle retrouve son caractère d'antan de plus en plus souvent, semblant se détacher du poids des années, du poids de ses souvenirs et de la mort. Elle apprécie les duels et relevera toujours un défi quelqu'il soit. Mauvaise perdante il faut l'avouer elle est charismatique et d'un caractère de meneuse. Lyre aime taquiner les autres et joue beaucoup sur les mots, sans méchanceté tout de fois. Il faut aussi indiquer que voir un mahai la mets dans un état...étrange.

Histoire:
Lyre est née il y a plusieurs années, on est sûr que c'était il y a au minimum deux cents ans, mais peu être que c'était bien avant, impossible d'être plus précis car elle ne paraît pas son âge comme tous les anshogs, et la sagesse est une chose qu'ils possèdent peu...Aussi pour savoir son âge il faut le lui demander...
Elle est née dans un campement anshog, celui ci c'était établi depuis deux semaines pour permettre aux deux femmes enceintes de la tribu d'accoucher tranquillement. En plein milieu d'un bois dans le nord du monde , ils avaient contruits quelques paliers dans les arbres reliés par de fins pont de corde, invisibles pour un oeil non elfique...
La mère de Lyre fut la première des deux à accoucher, dans un petit palier de frêne...Le père de la jeune femme faisait partit des guetteurs du groupe mais on l'avait pour une fois exempté de tour de garde...Il attendait, dehors, jambes pendantes dans le vide. Il entendait les guérisseuses s'activer autour de sa compagne et lui, ne pouvait qu'attendre ainsi qu'espérer.
Pourtant, l'accouchement se passa sans complications sous le regard de la lune. Enfin , sans complication...Les anshogs malgré leur remarquable longuévité mettent rarement au monde des enfants en bonne santé...Pas plus de trois par femme, jamais. De plus cette race est maigre et grande, donc fragile..A la naissance la majorité meurent dans les premiers mois de leur vie... Et les accouchements étaient très difficiles par rapport à ceux d'une femme humaine...
Lyre arriva au monde assez facilement selon les critères Anshog et en vie, qui plus est en bonne santé, laissant simplement sa mère allitée durant plusieurs mois. L'autre anshog vient deux nuits plus tard, tuant sa mère.
Durant plusieurs années, elle grandit ainsi, suivant sa tribu dans ses déplacements, accompagnée de ses deux parents dont elle était et resta l'unique enfant. Après la mort du père de l'autre anshog ils l'adoptèrent et les deux jeunes gens se pensaient frère et soeur, sans difficulté. Son enfance fut plutôt paisible, entre les voyages et les campements...Sa tribu était peu guerrière et vivait sans se soucier des autres races, restant entre eux, l'on devenait tour à tour chaque métier pour prendre celui dont le groupe avait besoin.
Ainsi la jeune femme grandit , apprenant la chasse, l'arc, à monter à cheval ainsi qu'a parler quelques bribes de commun. Une éducation à la fois complète pour chacun, mais sommaire pour d'autres, selon le milieu.
Son frère de lait l'accompagnait de même et suivait le même enseignement, devenant très proche d'elle. On pourrait même dire sans trop s'avancer que sans ce rapport familial ils auraient pu tomber amoureux l'un de l'autre.
Pourtant lors de la fête de la majorité de Lyre, lorsqu'elle avait 23 ans, cette vie heureuse et somme toute tranquille changea. Ces parents leur annoncèrent que le jeune homme avait simplement était adopter. Tout le monde avait remarqué leur complicité presque amoureuse et ils pensaient révéler la vérité était la meilleure chose à faire, surtout que les anshogs ne mentent que très rarement...Pourtant la réaction des deux jeunes gens fut tout autre. Lyre qui plaçait la vérité juste en dessous de la liberté dans ses principes fut agacée par ce mensonge long de 23 ans, tandis que son "frère" , lui allait dans la forêt pour réfléchir...
A l'heure du dîner de fête donné en l'honneur de l'anniversaire de la jeune femme on décida d'aller le chercher, car les fêtes de majorité étaient toujours un évenement à ne pas manquer...Lyre partit à sa recherche une heure avant la nuit, une heure avant le début du diner. Elle s'enfonca donc dans la forêt, vêtue de sa robe d'honneur...Au bout d'une heure de recherche elle entendit des cris et rejoignit en courant, trébuchant à chaque pas en raison de sa tenue l'origine des hurlements qui lui vrillaient les tympans et le coeur, celui étant serrés sous l'influence d'un mauvais pressentiment.
Son frère de coeur gisait en bas du torrent, étendu sans mouvement sur une pierre trempé de sang et d'eau. Précautionellement la jeune femme descendit sur les roches aspergées d'eau glaciale, elle-même dans sa précipitation et son inquiétude ne sentait pas ses vêtements coller à son corps, le trempant. Elle fut rapidement près de lui , des plaies parcouraient son corps mais la jeune femme ne pouvait pas alors, dire qu'est ce qui les avait causées. Il était mourant et lui adressa un regard plein de larme mais déjà rempli du froid et du trouble de la mort...
S'il y a bien une chose qui toucha la jeune femme se fut ce regard, elle devait le sauver...Pourtant il lui fit signe de se taire et murmura quelques mots à son oreille avant de se laisser mourir. Mots qu'elle n'oublia jamais au demeurant, des mots d'amour, des mots qu'on oublie pas.
Mais dans son désespoir et sa peine le don de magie qui sommeillait en elle depuis sa naissance éclot, c'est le cas de le dire. Un vent de tempête environna les alentours, soufflant avec force aveuglant de terre les êtres, manquant de les arracher du sol, seule Lyre semblait ne pas en souffrir...Une véritable tempête séjourna durant deux jours dans la forêt, fracassant tout ce qu'elle pouvait , enfermant les anshogs dans leurs abris. A la fin des deux jours tout cessa d'un coup, laissant les personnes sortir, écouter le silence qui était revenu après le bruit de la tempête...Lyre, à moitié morte d'épuisement par toute cette magie dépensée sous l'émotion s'était évanouie auprès du mort...

Les amis proches des deux jeunes gens et les parents de l'anshog se mirent à leur recherche et les trouvèrent ainsi...Elle fut rapatriée au camp endommagé et s'y reposa durant deux mois, trimballée sur un brancard durant les déplacements. Lui fut traité selon les honneurs...
La tribu ne comptait qu'un seul mage au don réduit, un mage de la nature. Il avait identifié l'origine de la tempête qui avait dévastait la forêt , et avait découvert le don qu'involontairement Lyre avait dévoilé et qu'elle possédait sans le savoir. Il délivra ses conclusions aux autres anshogs et tous ne purent que dire une chose:elle devait partir et apprendre à ce maîtriser.
Plus rien n'attachait la jeune femme à la tribu, même plus ces parents aussi elle accepta sans rien dire la décision, se contentant de préparer son paquetage. Elle avait changé. Moins joyeuse et impulsive, plus calme et réfléchie...Moins souriante surtout. Ses cheveux qui étaient blonds à la naissance étaient devenu aussi pâles que la neige..
Elle prit un des chevaux libres qui séjournaient près d'eux, une besace avec quelques vêtements et de l'argent et partit vers la ville...La ville qu'elle n'avait jamais approché, simplement entendu parler...La première qu'elle rencontra fut une petite bourgade humaine, elle appris simplement des choses le mode de vie de cette race puis repartit...Pour commencer elle se contenta d'apprendre sur les différentes races, sur les villes..Tout cela ne cessait de l'étonner...Puis elle eut vent, dans l'une des villes où elle séjournait d'un mage de l'air. Elle se rendit dans sa demeure mais plusieurs hommes se jetèrent sur elle et ne contrôlant pas son don elle ne put que se débattre. Ils étaient des marchands d'esclave et elle garde de cette aventure une légère prudence et un tatouage sur épaule gauche. Le mage n'était pas là le soir là, il cherchait justement à démenteler ces marchands et il la libéra. Ravie de l'aubaine elle lui demanda de devenir sa disciple et étonnament, il accepta;

Elle se révéla une élève douée, appliquée et créative, progressant vite. Elle resta huit ans chez lui puis repartit sur les routes. Des maîtres divers chez qui elle restait quelques années, deux ou trois le plus souvent , apprenant leur art aérien puis repartant..Des rencontres, des amitiés aussi.
Un jour elle fit aussi la connaissance d'un mahai . L'envie de conflit fut inévitable entre eux, pourquoi? Lyre n'en avait aucune idée mais dès qu'elle apercut le jeune homme une envie de se battre, de l'attaquer, de le défier s'empara d'elle...Pour la première fois depuis la mort de son ami elle céda à son don et enguaga la confrontation. Mais la jeune femme était encore malhabile et c'était un mahai de puissance mineure. Elle lui ficha une bonne frousse ainsi qu'une plaie à la jambe, lui , lui sectionna un doigt. Tout d'eux prirent la suite, éprouvés par cette étrange rencontre.

Mais la plus belle rencontre que fit la mage fut un soir d'hiver, dans une taverne. Elle y rencontra deux nains, jumeaux, un frère et une soeur. Ils buvaient jusqu'a plus soif, et elle se joignit à eux. Elle apprit ainsi qu'ils allaient de taverne en taverne, effectuant les quêtes et combats que l'on leur proposait. Une mage de l'air pouvait leur être utile aussi ils repartient tout les trois ensembles. Ils croisèrent d'autres mages, d'autres guerriers et ils furent bientôt une petite troupe, sans véritable meneur, même si Lyre avait de l'influence, étant donné qu'elle était alors une mage accomplie.

Il y a une centaine d'année ils s'arrêterent à la cité de Kalinach, où ils firent connaissance avec Elladat, un château abandonné depuis plusieurs années un peu plus au nord. Ils décidèrent d'y établir une école de magie, celle ci faisant de graves dégats si elle n'était pas controlée, Lyre en était la preuve. Ils rénovèrent le château et laissèrent le commandement de l'école à Lyre. Seule condition: dès qu'elle aurait un remplaçant elle repartirait avec eux.


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MessageSujet: Re: Lyre de Vertus   Lyre de Vertus EmptyDim 10 Déc - 22:42

Exemple:
L'aurore commençait à poindre à l'horizon de la surface et les vampires désertaient celle ci , renonçant au lever du soleil comme chaque matin..Celui ci était pourtant doux, un léger air frais balayait les arbres pour s'enfoncer ensuite dans le sol le long de la rivière soutteraine et rafraîchir le visage des êtres y vivant.

Une silhouette de petite taille se faufila près de la rivière souterraine, avant de se stopper et de rester un instant à fixer l'eau silencieusement, immobile. Enfin, Eléane car c'était elle ôta le capuchon de sa cape noire, puis celle ci en entier, dévoilant son visage bronzé et ses yeux qui avaient pris une délicate teinte grise clair nuancée de bleu. Un sourire étira ses lèvres charnues lorsqu'elle s'aperçut dans le reflet de l'eau claire, goûtant le plaisir rare de se voir. La vampire passa une main gantée dans ses longs cheveux puis laissa tomber sa cape au sol et se débarassa de son sabre.

Sur son menton décidé on pouvait voir quelques traces de sang, comme sur ses vêtements, durant toute la nuit l'apparente jeune femme avait traqué un humain..Le jeu du chat et de la souris ne la laisserait jamais songeait elle avec délice..La fatigue de la chasse qu'elle avait fait durer par jeu toute la nuit était largement estompée par le plaisir qui en avait découlé...Le sang aussi bien que l'adrénaline l'avaient repue, et on voyait encore une étincelle de sadisme allié à une sorte de folie douce, ou de joie intense dans son regard pâle. Eléane jeta ses gants noirs au sol , avant d'ôter sa robe noire, tachée de sang, elle s'habillait toujours de sombre lorsqu'elle chassait... Les banquets, les réserves d'humains, tout cela était agréable, comme de régner à la cour des vampires, mais cela ne remplacerait jamais ça...Ni l'air pur de la nuit, ni la peur des victimes...

Elle s'ébroua, chassant les restes de sa nuit pour se laisser glisser dans l'eau tiède, avec un délice non dissimulé, largement exprimer par un soupir de contentement. L'eau claire se teinta légèrement de rouge à son contact constata t elle sans émotion autre qu'une sorte de joie malsaine qui lui attira un nouveau sourire ajouté d'une lueur de fierté dans le regard. Elle entendait les vampires passaient dans le soutterain voisin, rejoignant les catacombes pour y dormir un peu mais sa fatigue à elle ne demandait pas encore ce repos pourtant justifié et Eléane resta simplement à nager, se laissant flotter entre deux eaux.. Elle ferma les paupières, se détendant lentement avant d'entendre un clapotis d'eau en amont et elle se redressa, en alerte.

Eléane attrapa son sabre sur la rive et passa la ceinture de cuir autour de sa taille nue avant de nager vers la direction du bruit, même si elle supposait la présence d'un ou d'une vampire.
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