Nom: De Siabo
Prénom:Laenvan
Age: 15ans ... depuis 30ans
Poste: élève
Elément: Wethil, bien que Lind était précédement son domaine.
Maîtrise de votre élément: En ce qui concerne le Wethil, Laenvan sait assombrir un lieu assez facilement du moment qu'il est délimité. C'est à dire, une salle par exemple... Il sait également s'estomper... mais ceci, il ne l'a jamais apprit... il l'a acquit, sans ne jamais rien demander. En ce qu'il concerne les deux éléments, ce qu'il sait, et qu'il y a en commun, c'est la dematerialisation... mais ça n'ont plus, il ne l'a pas voulu.
Race: Aujourd'hui, aucune... certain l'associe à un fantôme... mais ce terme n'est que générique... il n'est qu'un ensemble d'atomes qui prennent formes selon son envis...
Sexe: Autrefois, masculin... aujourd'hui, seul son habit le défini.
Description physique: Laenvan se définit comme blond aux yeux bleu, blond avec de courts cheveux, en bataille. Sa peau blanche comme un enfant riche qui, il s'en souvient, ne travail jamais la terre, qui, se cache toujours sous une ombrelle...Il se dit assez grand pour son age... avec de grandes mains fines... Mais aujourd'hui, rien ne prouve tout cela. Sa taille varie en fonction de ses vêtements... oui...étrange? Non pas vraiment. Son corps n'est qu'ombre, qu'air... lorsque l'on le voit, la seule chose qui l'identifie, sont ses vétements... il n'a plus de visage souriant, plus de cheveux blond et bataillant, plus de larges mains... seulment, on ne peut pas dire qu'il ne soit plus... car sa présence est. Oui, la preuve, est que rien ne le traverse... il est à l'heure actuelle un ensemble d'atomes qui mouvent...
Description morale: Laenvan tend à parler énormément pour se donner une présence. Pour que l'on le remarque, il tend même à être lunatique. Soit, un jour de trés bonne humeur, et le lendemain l'inverse.
Laenvan n'ayant jamais fini sa croissance morale, psychologique, reagit souvent comme un enfant de 15 ans. Il trouve les filles trop féminines, trop poupées, et les garçons stupides de s'accoler à elles.
Ce sont des raisons pour expliquer son comportement à double tranchants.
Oui, trop jeune parmi d'autres, il lui arrive d'être intimidé, docile même. Mais à l'inverse, connaissant son présent, il peut être renfrogné, et même assuré.
Histoire: Laenvan à vécut toute sa jeunesse dans une somptueuse demeure avec ses parents comme Conte et Contesse De Siabo, une cité de taille moyenne. Tous les jours, l'enfant unique, pendant que d'autres travaillaient les terres de son père, recevait des leçons particulières alors que ses amis de familles un peu moins aisées assistaient à des cours publics, dans une salle commune. Laenvan recevait des cours de piano. Instrument bien rare puisque trop riche. Il recevait un enseignement sur toutes les choses de la vie, comme comment tenir ses couverts à table, comment ridiculiser quelqu'un par une simple phrase, maniant bien la langue, comment se présenter. A cette époque, son intendant, soit son professeur le vouvoyait.
Laenvan n'avait jamais touché à la terre de sa vie autrement que pour jouer, ou bien, marcher dessus... avec ses belles sandales. Mais son intendant le voyant rentrer salle, apres s'être amusé comme tout enfant, l'a frappé avec un martinet. Jamais plus il ne devait recommencer. Il devait marcher sur les dalles, et ne pas avoir de terre sous les ongles. Son père ne s'occupait pas de lui, il était sans cesse aux commandes de la capitale. Sa mère était bien trop occupée à faire sa toilette et à choisir qu'offrir aux invités d'un soir, puis d'un autre, et encore d'un autre...
A 15ans, Laenvan n'avait plus d'amis. Il restait donc cloitré dans l'immense demeure de ses trés chers parents. 15ans, c'est l'âge auquel les filles et les garçons se retrouvent le soir pour ensemble désobeir à leurs parents. Au lieu de cela, à 15ans, Laenvan géré les compte de son père, était un pianiste reconnu par la haute cour, ne connaissant pas le tutoiement, rejetant toute filles qui soit disant, étaient indignes de lui.
Il était blond, les cheveux bataillant, avec de grandes mains, fines pour un garçon.
Lors d'un banquet organisait au palais, après s'être dévoilé une fois de plus avec son instrument, faisant la fierté de son père, de sa mère, mais également de son professeur, il monta dans sa chambre et s'observa dans un miroir ornée d'or et de diamants, avec en main, un long ceinturon.
Le lendemain matin, tandis qu'Edwund, un homme de main, venait à ouvrir ses rideaux afin de reveiller doucement le jeune De Siabo. Puis il se retourna... il ne bougeait pas... ne bougea plus. Il observait l'enfant, ses yeux fermés... il l'observer pendu à son lustre par un ceinturon de grande taille, bleuté, comme les yeux du jeune garçon... Il courut à lui, essayant de maintenir son corps... déjà froid. Il appela de l'aide... mais Lancevan en avait décidé autrement... Si il avait été là, il aurait sourie à cette scène... il avait, pour une fois, choisie pour lui.
D'ailleur il souriait, il le sentait sur son visage. Il vit quelques femmes et hommes s'atrouper autour de son cadavre pour le descendre. Puis finalement, entrèrent dans sa chambre celui qui avait soit disant été son père, avec sa mère. Son intendant arriva ensuite... à sa vue, il regretta de ne pas lui avoir écrit quelques mots pour le remercier de ne pas avoir laissé sa fleur s'épanouir. Lancewan les observait. Une larme coulait sur la joue de sa mère... c'était déjà pas mal se dit il.
Se dit il... mais qui était il, si son corps était au sol, au centre de tous? Il s'avança vers le miroir... rien...il ne vit rien... il n'était plus rien...
Alors il sortie de la salle, bousculant au passage un homme... homme qui ne comprit ce qu'il venait de se passer... et s'enfuit.
Il erra pendant trentes longues années. Trentes longues années qui peut à peu, lui ont permis de se connaitre. Il pouvait aller partout sans être vu, et c'est d'ailleur ce qui lui permis d'assister à de nombreuses soirées, et d'acquérir de nombreux savoirs sans ne jamais rien payer. Seulement, il ne viellissait pas... et s'était reculé par son absence de toutes société. Certes, aujourd'hui il avait une culture, mais tout ce qu'il conaissait ne formait aucun lien avec ce qu'il été.
C'est lors d'une soirée qu'il entendit parler d'une légende sur des être irrationnelles, inhumains même qui bien souvent se montraient odieux avec des hommes comme "nous", sans pouvoir aucun... C'était un rôdeur qui témoigné. Mais personne ne le cru. Lancevan n'avait rien à perdre... Le soir, tandis que le rodeur dormait, il vînt à son chevet... alluma la lumière afin de reveiller l'homme, et lui parla... l'homme était tout d'abord affolé, mais que dire, personne ne l'aurait cru si il racontait qu'un soit disant fantôme hantait sa chambre. Mais peu à peu, il se calma. Au petit matin, Lancevan savait où aller pour se forger une identité... à Kalinach.
Arrivé à la cité, il accepta, auprés d'un commerçant qui ne fût pas surprit d'entendre une voix sans ne voir personne, d'acheter une cape bleuté... noire bleuté... sombre. Il l'enfila, dévoilant ainsi une silhouette au commerçant. Il travailla un peu pour lui, et apprit la présence d'une école de magie dite Elladat. Lanceven n'avait aucun pouvoir. Mais l'homme pour qui il travaillé l'informa plus amplement lui faisait comprendre, que tous son être n'était que pouvoir, puisqu'il n'était pas materiel...
Signes particuliers & autres: Son absence permanante de corps.
Exemple:
Lanceven enfila sa cape par dessus "ses épaules". Dehors l'hiver était doux, le vent sifflait. Sa cape dessinait une silhouette masculine à cause de la largeur de son dos, et surtout, grace au tissu conseillé par le viel homme qui l'avait renseigné, logé, nourri et même étrangement blanchi.
Il allait sous sa cape, nu, comme jamais son intendant n'aurait aimé; à cette idée, il sourie. Qu'était devenu celui ci... était il encore vivant? Et ses parents? Cela faisait bien longtemps qu'il avait oublié leur visage... Il marchait à présent dans la grande rue de la ville... arreta un passant, et demanda simplement.
-Escusez moi Monseigneur, auriez vous l'obligence de m'instruire sur la façon dont je pourrais me rendre à l'Ecole d'Elladat?
L'être l'observa, relevant un cil... puis lui dit finalement.
-Il n'y a pas de Monseigneur ici jeune ho... mon gars, et pour ne pas savoir ça, tu as dû faire un bourrage de crâne dans ton enfance... Elladat, **avec un accent particulier, pointant du doigts** c'est le bâtiment qui trône, là haut, sur la colline. Et si'lon ne t'as pas renseigné, la directrice de cette école est une Anshog.
Une Anshog... soit... mais qu'était ce? Le passant lui tapa dans le dos en lui glissant
-Bonne chance mon gars, on se revera bientôt j'espere... j'tapprendrais les bonnes manières
Sujet: Lanceven, une histoire pas comme les autres... 
Sam 3 Mar - 14:23
genial merci beaucoup 
je trouve ça marrant moi:) et actif j'espere!
bon, ça c'est un bonnet, mais on coprend l'esprit... hem...
